« Le Frère le plus futé de Sherlock Holmes » de Gene Wilder
Rattrapage encore possible en VàD sur Arte.tv
(et clin d’oeil à « La Rose Rouge »)
En décembre dernier le groupe de programmation de notre Ciné-quartier Mouton Duvernet avait porté son choix sur « Les producteurs » de Mél Brooks, moment qui a été donné à beaucoup de redécouvrir Gene Wilder.
Aussi, nous avons été quelques-uns à guetter la diffusion d’une de ses réalisations sur Arte, où il tient l’un des rôles principaux : « Le Frère le plus futé de Sherlock Holmes« .
Une impression Monthy Phytonesque m’a largement interpellée. Je me suis s’interrogée sur l’influence des uns vis à vis des autres, notamment par rapport au « Sens de la Vie » lorsque j’ai vu de la scène où le bras droit de Moriarty s’empiffre à ses côtés, « Sens de la vie » qui sera tourné en 1983 (« Le Frère le plus futé de Sherlock Holmes » en 1975)…mais là, je laisse les spécialistes se prononcer. Redécouvrez Marty Feldman, qui oeuvra d’ailleurs à la télévision britannique, notamment auprès des futurs Monthy Python.
France 2 a rediffusé, et grand bien lui en a pris, « Un éléphant ça trompe énormément » d’Yves Robert.
Quel rapport avec Gene Wilder me direz-vous, et bien une autre influence, mais celle-là totalement avérée : Gene Wilder a commis le remake américain « La fille en rouge« . A priori, les avis sont partagés, et il est vrai qu’à voir la bande annonce sur le net il n’y a pas forte différence…mais peut-importe je cite cela pour l’anecdote.
En tous cas « Le Frère le plus futé de Sherlock Holmes » est à voir. La scène de la confession a du faire envie à notre très regretté Jean-Pierre Mocky… à voir on vous dit…!
Retrouvez sur le site CINECOMEDIES un hommage à Gene Wilder, avec un témoignage de Pierre Richard lui-même en 1977.
D’AILLEURS EN PARLANT D’YVES ROBERT…
Revu Yves Robert tout jeune acteur dans « La Rose rouge » de Marcel Pagliero

En fait l’idée pour moi était de revoir les mises en scènes des chansons des Frères Jacques, qui sont, elles, excellentes. « La rose rouge » cabaret de la rive gauche où, comme dans le film, Yves Robert et les Frères Jacques se sont produits. Un film foutraque, de très bonne idées, pas très bien exploitées, mais on se fait plaisir en retrouvant Dora Doll, et Françoise Arnoul toute jeunette et pin-up ! Plaisir de retrouver une distribution composée de vedettes en devenir. Un témoignage très sympathique.
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